Équipe
- Gestion de projet
- Antonella Lacatena
- Nicolas Stinghlamber
- Image
- Yann Verbeke
- Tristan Galand
- Thomas Bojan
- Animation
- Jérémie Mazurek
- Son
- Pierre-Yves Rijckaerts
- Montage
- Thomas Fournet-Oberlé
L’idée de Copa Para Quem nait fin 2013 quand la journaliste Maryse Williquet se rend au Brésil. Elle y découvre alors un pays en pleine effervescence, s’apprêtant à accueillir un événement historique. Très vite, elle découvre pourtant qu’il existe une autre réalité que le pays organisateur cherche à cacher. C’est alors qu’elle décide de se lancer dans ce projet un peu fou. Switch décide de l’accompagner et de l’aider à le réaliser.
Maryse Williquet séjourne cinq mois dans la ville de Fortaleza, la capitale de l’un des États les plus pauvres du Brésil. Elle a ainsi le temps de nouer de véritables liens à la fois avec de ces « indésirables» que les autorités cherchent à cacher, en les excluant de la ville mais aussi avec ceux qui militent pour une autre gestion de cet événement. Le mouvement Copa Para Quem est en train de naître et nous le suivons en direct.
Pour explorer cet enjeu, nous avons opté pour le format webdocumentaire permettant au public de le découvrir à son rythme, thématique par thématique, avec une possibilité d’aller plus ou moins loin dans l’expérience. Un format linéaire de 26 minutes a également été produit pour des projections en salle et en télévision.
Pour voir l’entièreté du projet : www.copaparaquem.com
Très vite, le projet remporte une bourse du Fonds pour le Journalisme. Cependant, pour compléter cette bourse, nous nous lançons dans une campagne de financement participatif sur la plateforme KissKissBankBank. Nous réalisons alors à quel point le public est touché par cette thématique. Notre campagne atteint rapidement son but et crée une véritable communauté autour du projet.
Grâce à cette communauté et à un travail de promotion acharné, Copa Para Quem a été un véritable succès public. Le webdocumentaire a été visité plus de 100 000 fois avec une durée moyenne de sessions particulièrement long pour ce type de format.
Avec la participation du Fonds pour le Journalisme, du Comité Belgo-Brésilien, du Pianofabriek, du CNCD-11.11.11 et du journal Le Soir.